A Kinshasa, la mode des jeunes suscite des inquiétudes par une manière indécente de s’habiller d’un individu ou d’un groupe d’individus alors que la mode devrait refléter une jeunesse qui aspire à des responsabilités.
Au moment où les Congolais sont invités à se mobiliser en vue de la refondation de leur société, la question du changement des mentalités chez les jeunes reste pendante. La mode, par rapport à cette préoccupation, suscite encore des polémiques. A Kinshasa, en effet, la mode des jeunes présente bien des inquiétudes. Entendue comme manière de s’habiller d’un individu ou d’un groupe d’individus, la mode devrait refléter une jeunesse qui aspire à des responsabilités.
Ne dit-on pas que " la jeunesse, c’est le Congo de demain " ? Or, à l’allure où vont les choses, il y a risque, au regard notamment du laissez faire, de léguer à la postérité un cadeau empoisonné. Dans les rues de Kinshasa, le type d’habillement présentement en vogue chez les jeunes est le " Bas fesse " ou " Taille basse ". Ce type d’habillement est tiré des artistes musiciens qui le font dans leurs productions musicales, théâtrales et même à travers la publicité. Cet habillement a inspiré beaucoup de jeunes.
Au moment où les Congolais sont invités à se mobiliser en vue de la refondation de leur société, la question du changement des mentalités chez les jeunes reste pendante. La mode, par rapport à cette préoccupation, suscite encore des polémiques. A Kinshasa, en effet, la mode des jeunes présente bien des inquiétudes. Entendue comme manière de s’habiller d’un individu ou d’un groupe d’individus, la mode devrait refléter une jeunesse qui aspire à des responsabilités.
Ne dit-on pas que " la jeunesse, c’est le Congo de demain " ? Or, à l’allure où vont les choses, il y a risque, au regard notamment du laissez faire, de léguer à la postérité un cadeau empoisonné. Dans les rues de Kinshasa, le type d’habillement présentement en vogue chez les jeunes est le " Bas fesse " ou " Taille basse ". Ce type d’habillement est tiré des artistes musiciens qui le font dans leurs productions musicales, théâtrales et même à travers la publicité. Cet habillement a inspiré beaucoup de jeunes.
Il est très prisé lors des concerts et des sorties en pique-niques. Beaucoup en effet, se demandent si pour les artistes, cet habillement est commode par rapport au jargon de leur métier. Car à ce jour, les bonnes consciences lèvent le ton et crient au scandale. L’habillement des années 60 qui pourtant incluait la notion sacrée du respect, a été méprisé.
En cette décennie-là, il n’était pas possible de voir dans la rue des minijupes, des soutiens-gorge, " DVD " (Dos et Ventres Dehors), etc. Maints observateurs s’accordent sur le fait que la lutte contre la corruption inclut le volet assainissement des mœurs. Aussi estime-t-on que le travail de la Commission nationale de Censure devrait s’étendre jusqu’à une mode qui puise dans les anti-valeurs.
Matoko Kambulu
En cette décennie-là, il n’était pas possible de voir dans la rue des minijupes, des soutiens-gorge, " DVD " (Dos et Ventres Dehors), etc. Maints observateurs s’accordent sur le fait que la lutte contre la corruption inclut le volet assainissement des mœurs. Aussi estime-t-on que le travail de la Commission nationale de Censure devrait s’étendre jusqu’à une mode qui puise dans les anti-valeurs.
Matoko Kambulu
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